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"Il paraît que l'inventeur de la cédille est un certain Monsieur Groçon !"


Philippe Geluck

  Bonne Fête Marius !

 
 

Arrivée prévue à 7 heures, départ à 18 heures.



Le jour de notre escale, au meilleur de la journée.


 

Le Magnifica s'est amarré tôt ce matin dans le port de San Juan sur l'île américaine de Porto Rico. Pas de problème avec l'immigration aujourd'hui, nous avons un visa désormais en règle pour un séjour à entrées multiples durant les 3 prochains mois...

Le ciel est parfaitement bleu et notre thermomètre indique 25° à l'ombre de notre balcon lorsque nous décidons de descendre à terre, il est 10 heures...

C'est une escale entièrement pédestre que nous avons décidé de faire aujourd'hui. Notre point d'ancrage, aux portes de la ville, rend très réalisable notre projet. Un rapide passage au syndicat d'initiative nous permet de récupérer un plan et un circuit balisé dans la vieille ville. Nous débutons donc notre escapade en suivant le Paseo La Pincesa suivant les recommandations de notre petit plan.

Les façades des maisons sont souvent très colorées. Nous remarquons très rapidement une importante présence policière, dans chaque rue, à chaque carrefour et la circulation des véhicules dans le centre de la vieille ville est rendu impossible par de nombreuses barrières. Ce dispositif n'est peut-être aussi important que les jours où des paquebots font escale... Les policiers se montrent en tous cas très prévenants à l'égard des touristes et nous renseignent, sans retenue, à chaque fois que nous les sollicitons.

Nous trouvons à plusieurs reprises des façades de maisons, de boutiques, encore parées de décorations de Noël. En fait nous sommes probablement surpris de voir celles-ci sous ce soleil et cette température, car les fêtes n'ont finalement eu lieu qu'il y a à peine un mois...

Après le déjeuner pris sur le paquebot, puisque nous ne nous en sommes que peu éloignés, nous partons faire un tour dans la partie plus moderne de San Juan. Celle-ci nous apparaît beaucoup moins intéressante et les rues n'ont pas le charme de la vieille ville, beaucoup moins de touristes s'y aventurent d'ailleurs. Nous y trouvons surtout des Portoricains qui déjeunent tardivement, ils sont nombreux installés un peu partout sur les trottoirs et les bancs publics. Nous remarquons très vite qu'ils sont tous aux burgers, aux sandwichs, aux sodas... ils sont également très nombreux à se trouver en situation d'obésité...

Le beau temps va nous accompagner sans faille tout au long de notre séjour à San Juan et le thermomètre affiche encore 27° à 18 heures lorsque doucement, notre paquebot prend le large. Le Commandant a mis le cap sur une nouvelle île, celle de Curaçao, que nous atteindrons lundi matin après un dimanche en navigation.

Clichés pris par l'équipe photos du MSC Magnifica...

 

La plaque commémorative de notre passage...

 

 




 

L'Anecdote* du jour...

Edith Piaf avait des origines marocaines

Si Édith Piaf est considérée comme la chanteuse française par excellence, elle n’en avait pas moins des origines variées : normandes par son père, italiennes et… marocaines par sa mère.

La grand-mère maternelle d’Édith se nommait Emma Saïd Ben Mohamed, née en France à Soissons en 1876 elle était la fille de deux artistes de cirque. Son père, Saïd Ben Mohamed était né à Mogador (aujourd’hui Essaouira) au Maroc vers 1827. Il était donc probablement berbère.

Née Édith Giovanna Gassion en 1915 à Paris, Édith Piaf était donc l’arrière-petite-fille d’un marocain.

*Anecdote probable mais non garantie...

 

 

 



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