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"Dans certains restaurants, on appelle "plat du jour" les restes de la veille qui ne peuvent pas attendre le lendemain."

 Philippe Bouvard

  Bonne Fête Ida !

 

Le jour de notre navigation, au meilleur de la journée.


 

Allez encore un petit recul de 60 minutes cette nuit et nous voici désormais avec seulement 2 heures d'avance sur l'heure française !...

Une annonce sonore générale a rappelé ce matin à tous les passagers la présence du Magnifica dans une zone à "hauts risques de piraterie maritime". Le Commandant Massa en personne nous a instamment priés, après avoir rappelé que nous étions sous une surveillance militaire aérienne permanente et que des hommes spécialement formés à ces risques patrouillaient sur les ponts, de respecter scrupuleusement les codes d'alertes si un risque venait à se présenter... Mieux vaut prévenir que guérir...

Une météo toujours aussi agréable nous a accompagnée tout au long de cette journée qui s'est déroulée sans incident...

 

 




 

L'Anecdote* du jour...

Sonorama : le magazine qui se lisait sur un tourne-disque

Chaque page était accompagné d’un disque souple au format 45-tours.

En octobre 1958 paraît le premier numéro d’un magazine au concept tout à fait inédit : Sonorama. Traitant de l’actualité dans divers domaines (politique, musique, arts, société, étranger…), Sonorama avait la particularité de proposer un document sonore en regard de chaque page du magazine.

Au milieu de chaque article (étalé sur deux pages) se trouvait un encart réalisé dans un "flexidisc" , un disque souple et quasiment aussi fin qu’une page du magazine, aux dimensions d’un vinyle 45-tours. La reliure étant composée d’anneaux plats, il était possible de plier le magazine afin de le déposer sur un tourne-disque.

Un trou central permettait de caler le disque sur la platine. Il suffisait ensuite de mettre en route son tourne-disque, à la vitesse 33 tours, pour écouter le document sonore associé à l’article : interview, chanson, extrait de discours, reportage…

Avec une moyenne de 7 à 8 sujets par numéro, et un prix assez élevé (500 anciens francs en 1958), Sonorama n’aura semble-t-il pas atteint le nombre de lecteurs attendu. Le 42ème numéro paraît en juillet 1962 : ce sera le dernier.

De nos jours, les numéros de Sonorama sont très recherchés par les collectionneurs : un exemplaire en bon état se négocierait facilement entre 40 et 60 euros.

*Anecdote probable mais non garantie...

 

 

 



 

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