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"Fermer les maisons closes, c'est plus qu'un crime, c'est un pléonasme."

Arletty

  Bonne Fête Justine !

 
 

Arrivée prévue à 8 heures,départ à 19 heures.


Le jour de notre escale, au meilleur de la journée.


 

C'est sous un ciel bien chargé en nuages gris et une température sensiblement en baisse que nous nous approchons tôt ce matin du petit port de Waitangi dans "la Bay of Islands" (la baie des îles), ainsi nommée en raison bien sûr des innombrables petites terres qui émergent au Nord de la Nouvelle-Zélande.

Nous voici donc arrivés dans ce pays où vivent plus de moutons que d'êtres humains ! Le pays est composé par deux îles principales, l'île du nord sur laquelle nous serons pendant nos 3 jours d'escale et l'île du sud sur laquelle est implantée Wellington, qui est la capitale de la Nouvelle-Zélande et également la capitale située la plus au sud du Monde !

C'est en chaloupe que nous allons atteindre le petit port de Waitangi puisqu'il n'existe pas de possibilité d'amarrage dans cette région du pays. Après ce transfert d'une petite demi-heure, c'est un "shuttle" (bus navette) spécialement affrété pour le transit des passagers qui nous dépose en un quart d'heure dans la petite ville de Paihia. Il s'agit d'une confortable station balnéaire où foisonnent commerces et restaurants assez concentrés au coeur de ville, laissant une large place aux hôtels et résidences face à l'océan. A priori de nombreuses habitations sont des résidences secondaires pour partie détenues par les habitants de la ville voisine d'Auckland où nous serons demain et après-demain.

Après avoir assez longuement flâné dans les rues animées et marché dans les sentiers de randonnées aménagés et tout proches de la cité, nous avons trouvé un mini van dont le chauffeur, certainement proche de 80 ans, nous a fait découvrir quelques beaux sites de la région.

Les Haruru Falls et le belvédère de Mount Bledisloe ont compté parmi les plus originaux et les plus remarquables de notre passage de quelques heures dans cette région du globe.

Après avoir de nouveau arpenté les rues de Paihia et réemprunté le "shuttle" et la chaloupe, nous voici de nouveau à bord de notre hôtel flottant qui, comme prévu au programme de la journée, a repris le large à 19 heures pour naviguer lentement toute cette soirée et toute cette nuit pour atteindre demain matin la ville d'Auckland située à seulement 148 miles nautiques.

La plaque commémorative de notre passage...

 

 




 

L'Anecdote* du jour...

Spationaute, astronaute, cosmonaute : quelle différence ?

L’appellation des voyageurs de l’espace dépend du pays qui les envoie en mission.

Vous aviez certainement remarqué qu’il y a plusieurs façons possibles de nommer une personne qui voyage dans l’espace, dans le cadre d’une mission spatiale. Au moins trois termes sont régulièrement utilisés en France :

- cosmonaute : issu des mots grecs kosmos (univers) et nautes (navigateur)
- astronaute : issu du grec ástron (étoile) et nautes (navigateur)
- spationaute : mot hybride venant du latin spatium (espace) et du grec nautes (navigateur)

Chacun de ces termes correspond en fait au pays pour lequel travaille le voyageur spatial :

Le cosmonaute est envoyé dans l’espace par la Russie : il s’agit d’ailleurs d’une traduction du russe kosmonavt.

L’astronaute fait partie d’une mission américaine (États-Unis).

Quant au spationaute, il semble que le terme ait été inventé par les Français pour justifier d’une autonomie lors de leurs premières missions spatiales.

Il existe désormais également une appellation pour désigner les spationautes chinois : on les appelle taïkonautes, du chinois tàikongrén composé de tàikong (espace, cosmos) et rén (homme).

*Anecdote probable mais non garantie...

 

 

 



 

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