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"J’ai un copain, il est pilote d’essai... enfin, il ne l’est pas encore ; pour l’instant, il essaie d’être pilote ! "

Raymond Devos

  Bonne Fête Françoise !

 
 

Arrivée prévue à 8 heures,départ à 18 heures.


Le jour de notre escale, au meilleur de la journée.


 

Seconde escale aujourd'hui sur Viti Levu, la plus grande des îles de l'archipel. Ce ne sera en fait pour nous qu'une étape transitoire car nous n'avions pas projeté de sortir de Lautoka et la ville ne présente en fait que bien peu de centres d'intérêts...

Lautoka est, avec ses 53000 habitants, la seconde plus grande cité de Viti Levu. La ville est surtout portée par ses nombreuses usines de traitement de la canne à sucre ce qui lui a d'ailleurs valu le nom de "Sugar City" (la ville du sucre).

Beaucoup de magasins en tous genres, un grand marché, une mosquée, beaucoup de fidjiens dans les rues (nous sommes samedi), voilà ce que nous allons croiser au cours de notre balade sous une chaleur écrasante encore aujourd'hui. Nous approchons en effet le tropique du Capricorne qui est à l'hémisphère sud ce qu'est le tropique du Cancer à l'hémisphère nord... du beau temps, du très beau temps mais aussi un taux d'hygrométrie très élevé... en deux mots nous jouissons d'une chaleur tropicale !

Ce soir, gastronomie fidjienne au restaurant et un extrait de Carmen interprété par la formation "Musica in Maschera" sont prévus à bord.

Ensuite, après 2 jours de navigation, au cours desquels nous passerons au sud du tropique du Capricorne, où nous devrions retrouver un climat tempéré, nous atteindrons la Nouvelle-Zélande pour 3 jours d'escale qui précèderont notre arrivée en Australie...

 

 




 

L'Anecdote* du jour...

Des disques de 1907 sortis des sous-sols de l’Opéra Garnier

En septembre 2008, la Bibliothèque nationale de France faisait procéder à l’ouverture de deux urnes déposées en 1907 et 1912 dans les sous-sols du palais Garnier à Paris. Ces urnes contenaient des disques ainsi que du matériel pour procéder à leur lecture (gramophone et aiguilles).

C’est le 24 décembre 1907, au cours d’une cérémonie, qu’Alfred Clark, président d’une maison de disque, la Compagnie française du Gramophone, fait don de 24 disques, placés dans deux urnes scellées. Le don sera complété en 1912 par 24 autres disques, ainsi qu’un gramophone.

La condition de ce don était de n’ouvrir les urnes que cent ans plus tard, soit en 2007. L’enfouissement de ce trésor avait ainsi pour but de montrer aux générations futures l’état des techniques d’enregistrement ainsi que de faire entendre la voix des principaux chanteurs de l’époque. Et peut-être aussi de faire un petit coup de pub pour la Compagnie du Gramophone ? :-)

Lors de travaux en 1989, l’Opéra constate que les urnes ont été fracturées et décide de confier le tout à la Bibliothèque nationale. En 2008, un peu plus de cent ans après le dépôt, on procède à l’ouverture de deux des urnes, après moult précautions : les disques étaient enveloppés dans du papier amianté.

Les disques enfouis dans les sous-sols de l’Opéra contenaient des œuvres du répertoire classique et lyrique de l’époque (fin XIXè – début XXè siècle). Des opéras enregistrés par des interprètes confirmés (Adelina Patti, Pol Plançon…) mais aussi de jeunes talents (Enrico Caruso).

Les morceaux ont été transférés sur CD et publiés par EMI, société héritière de la Compagnie française du Gramophone, avec le concours de la Bibliothèque nationale et de l’Opéra.

*Anecdote probable mais non garantie...

 

 

 



 

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