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"D'après une étude américaine, 20% des habitants de notre planète parlent anglais. Les 80% restants n'ont pas compris la question."


Jean Yanne

  Bonne Fête Véronique !

 

Le jour de notre navigation, au meilleur de la journée.


 

Et de 9 ! Les pendules du paquebot ont été une nouvelle fois reculées cette nuit... L'océan est un peu agité depuis 2 heures du matin et nous ondulons au gré du roulis généré par les longues vagues du Pacifique... Le temps est couvert au lever du jour mais nous pourrons profiter de belles éclaircies au cours de l'après-midi. Nous remontons vers des latitudes où l'hiver est installé, nous allons devoir désormais faire une parenthèse sur les températures qui nous ont accompagnés pendant une grande partie du premier quart de notre voyage !

Cette nouvelle journée de navigation va nous éloigner des côtes mexicaines pour nous rapprocher de celles des États-Unis d'Amérique.

Pour en arriver là, nous allons traverser le parallèle le plus septentrional au niveau duquel le soleil apparaît à son zénith le jour du solstice de juin dans l'hémisphère nord, il s'agit du tropique du Cancer.

Ce tropique marque un net changement de climat nous faisant passer des zones tropicales à des contrées tempérées et plus fraîches. Nous avons déjà traversé ce tropique lorsque nous avons effectué notre traversée de l'Atlantique entre l'île portugaise de Madère et l'île franco-hollandaise de Saint-Maarten. Nous avions alors bien connu ce brusque changement de climat et de température. Nous franchirons encore par 2 fois cette ligne imaginaire, une première fois entre San-Francisco et Hawaii puis une seconde, dans la dernière partie de notre grand voyage,  lorsque nous quitterons les Maldives pour rejoindre Dubaï.

Demain nous accosterons à San Diego, ville américaine située juste à la frontière avec le Mexique.

 

 

 




 

L'Anecdote* du jour...

Les habitants de Saint-Pierre-et-Miquelon descendent de pêcheurs basques, bretons et normands

Découvert au début du XVIème siècle, l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon a d’abord servi de point de relais à des pêcheurs de baleines. Ces pêcheurs, basques, bretons et normands pour l’essentiel, ont commencé à s’installer de façon permanente sur les îles au début du XVIIème siècle.

L’histoire tumultueuse de ces petites îles d’Amérique du Nord est faite de conflits entre Français et Anglais, d’occupations et de déportations des populations. La re-colonisation définitive de Saint-Pierre-et-Miquelon ne s’est faite qu’en 1816, avec de nombreuses familles acadiennes.

Le français parlé à Saint-Pierre-et-Miquelon est d’une forme proche du français de Normandie.

Les récents blason et drapeau de Saint-Pierre-et-Miquelon datent du XXème siècle et rendent hommage aux ancêtres des habitants : on y retrouve (dans l’ordre) le drapeau basque (l’ikurriña), les hermines du blason de Bretagne et les léopards du blason de Normandie. Les origines acadiennes ne s’y retrouvent étonnamment pas.

Les habitants de Saint-Pierre-et-Miquelon ont également d’autres origines historiques : on y recense des ascendances anglaises ou irlandaises, dues à la proximité de Terre-Neuve.

*Anecdote probable mais non garantie...

 

 

 



 

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