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"Un raciste, quand il commande un "Black & White", demande deux verres séparés."

Roland Magdane

  Bonne Fête Benoît !

 
 

Départ à 23 heures.


Le jour de notre escale, au meilleur de la journée.


 


Après une courte nuit, nous démarrons notre seconde journée à Dubaï dès 8 heures car nous avons rendez-vous avec Molsen, un guide local, pour profiter d'un programme encore bien chargé aujourd'hui...

Dubai Mall sera notre premier arrêt... Le Dubai Mall, avec ses 1 200 boutiques, couvre une surface totale de 1,1 million de m2. Le centre commercial comprend également le Dubai Aquarium & Underwater Zoo, un aquarium comptant parmi les plus grands au monde avec une vitre de 32,88 m de long, de 8,3 m de haut, et 75 cm d'épaisseur pesant près de 25 tonnes et pouvant résister aux 10 millions de litres d'eau de l'aquarium, où nagent des requins, des raies parmi les 33 000 animaux qu'il contient. Une patinoire olympique, des chutes d'eau, une vue sur la tour la plus haute du monde (Burj Khalifa 828 mètres), un multiplexe de 22 salles et The Grove, une rue au toit ouvrant, plus de 120 restaurants et cafés complètent l'offre commerciale. Le Dubai Mall attire plus de 750 000 visiteurs chaque semaine.

Après cette première étape, nous nous dirigeons vers Palm Island, immense île artificielle composée de Palm Jumeirah et des hôtels Burj-Al-Arab, Jumeirah Beach et  Atlantis The Palm. Le tronc qui mesure deux kilomètres de long est relié au continent par le Gateway Bridge. Il accueille un monorail en son centre, ainsi que des voies rapides sur les côtés. Dans les seize palmes se trouvent 1.350 villas privées de luxe abritant 8 000 habitants. Le croissant, long de onze kilomètres, est composé de trois îles courbées. L'île centrale, la plus grande, est reliée à l'extrémité du palmier par un tunnel sous-marin que nous empruntons pour arriver jusqu'aux 21 immenses aquariums du complexe Atlantis... contenant 250 espèces de poissons.

Il est désormais l'heure de déjeuner, et c'est dans le majestueux hôtel autoproclamé 7*, le Burj Al Arab, que nous allons prendre celui-ci... le buffet est excellent, le panorama du 27è étage impressionnant et le cadre vraiment magnifique. Nous allons même avoir l'opportunité de visiter une suite occupée par un couple que nous avions rencontré lors d'un précédent voyage et qui nous a gentiment proposé d'y "jeter un oeil"... les photos parlent d'elles mêmes...

Changement radical de décor pour cette nouvelle étape dans notre programme du jour, puisque c'est vers le vieux Dubaï que nous nous dirigeons désormais. Le quartier Bastakyia du XIIIè siècle et le musée souterrain sont 2 attractions intéressantes qui montrent un visage bien différent de la ville d'aujourd'hui...

C'est à bord d'une boutre, petite embarcation appelée ici taxi d'eau, que nous traversons ensuite rapidement le fleuve pour nous rendre au Grand Souq Deira qui regorge d'épices et à celui de l'or qui est l'un d'un plus grand du monde, mais là vous l'aurez deviné ! C'est dans ce second souq que nous avons pu voir Najmat Taiba, la plus grosse bague en or du monde pesant plus de 60 kilos !

Après cette seconde journée bien remplie, nous regagnons le bateau, demain nous serons à Abu Dhabi pour notre troisième et dernière journée d'escale dans les Emirats Arabes Unis...

Un cliché pris par l'équipe photos du MSC Magnifica...

 

La plaque commémorative de notre passage...

 

 




 

L'Anecdote* du jour...

Le président de la République Française est co-prince d’Andorre

La Principauté d’Andorre n’a pas de souverain à proprement parler : l’autorité est partagée entre l’évêque d’Urgell en Catalogne (Espagne) et le chef de l’exécutif français. Chacun est co-prince d’Andorre.

Il faut remonter aux prémices de l’histoire de la petite principauté des Pyrénées pour comprendre ce partage de souveraineté. Au XIIème siècle, la suzeraineté d’Andorre revient au diocèse d’Urgell, administré par l’évêque. Craignant de perdre leur territoire face aux nobles locaux, les ecclésiastiques finissent par signer un traité avec le seigneur catalan Arnaud de Caboet : Andorre, toujours sous suzeraineté des évêques d’Urgell devient un fief des Caboet. Par le jeu des héritages, ce sont les comtes de Foix qui finiront par hériter du fief au début du XIIIème siècle.

Mais les relations sont tendues entre les comtes de Foix et les évêques d’Urgell. La situation sera résolue en 1278 avec la signature d’un paréage qui partage officiellement la souveraineté d’Andorre entre un co-prince ecclésiastique et un co-prince laïc.

Héritier du comté de Foix et donc de la co-principauté d’Andorre, Henri IV attache au titre de roi de France celui de co-prince d’Andorre. Après la Révolution, la République Française n’exerce pas de souveraineté sur Andorre, l’évêque d’Urgell devenant le seul co-prince. Napoléon finira par revendiquer la continuité de la co-souveraineté française sur Andorre, quel que soit le souverain français.

Ce qui explique qu’aujourd’hui encore, les présidents de la République Française sont co-princes laïcs d’Andorre !

*Anecdote probable mais non garantie...

 

 

 



 

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