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"Je lègue tous mes biens à mon épouse, à condition qu'elle se remarie. Ainsi, il y aura tout de même un homme qui regrettera ma mort."

 Paul Scarron

  Bonne Fête Roméo !

 
 

Départ à prévu à 18h reculé à 23 heures.


Le jour de notre escale, au meilleur de la journée.


 

Compte tenu de notre grande balade autour de l'île hier avec Steven, nous avons décidé de passer notre seconde journée d'escale à Tahiti, dans le centre de Papeete.

La chaleur et la moiteur de l'atmosphère n'auront pour seuls remparts que la prise régulière de boissons désaltérantes et les pauses régulières que nous nous imposerons dans des boutiques climatisées !

C'est par le marché municipal que nous débutons notre matinée. Les lieux, très animés, sont envahis par de nombreux passagers des deux paquebots amarrés aux quais. Beaucoup de "babioles" et de vêtements très colorés occupent de nombreux étals, mais une place importante est également laissée aux fruits et légumes qui, vus du premier étage offrent la vue d'un joli parterre multicolore. Musiciens, danseurs et tahitiens musclés et tatoués se produisent bénévolement dans de nombreux endroits du marché.

Un peu partout dans les rues mitoyennes, d'innombrables marchands de fleurs, de tee-shirts, de paréos et de perles (pas forcément authentiques...) ont étalé leurs marchandises sur quelques planches et deux tréteaux...

Au cours de notre balade pédestre, nous allons voir notamment le bel hôtel de ville et la vieille cathédrale de Papeete datant de 1875. De nombreuses créations artistiques de street-art ornent les grands pignons des immeubles bien exposés.

A notre retour au port nous relevons la présence d'un troisième paquebot battant pavillon australien, le Viking Sun. Toutefois, dès 18 heures le Luminosa a repris le large nous précédant de quelques heures puisque nous quitterons également Papeete vers 23 heures pour nous diriger vers Moorea où nous serons en rade tôt demain matin. Nous y retrouverons peut-être le paquebot Costa...

Ce soir c'est une soirée blanche qui est organisée sur le Magnifica, les passagers en grand nombre se sont pliés au dress-code suggéré, les plus courageux (ou les plus fêtards...) iront sans doute danser tard dans la nuit...

Cliché pris par l'équipe photos du MSC Magnifica...

 

Les plaques commémoratives de notre passage...

 

 




 

L'Anecdote* du jour...

L’origine du mot « sopalin »

Un nom de marque entré comme nom commun dans le langage courant.

Aujourd’hui, une courte anecdote pour bien démarrer votre journée. D’autant plus courte si vous cherchez un rouleau de sopalin pour éponger un liquide renversé. Mais au fait, quelle est l’étymologie du mot sopalin ?

Pas de sopalinus latin ni de sopalinos grec ! Le Sopalin est en fait un nom de marque déposé à l’INPI en 1948 : il s’agit des initiales de la
Société du Papier-Linge, inventrice de ce produit en papier destiné à remplacer le linge pour les usages nettoyants.

Le nom est entré dans le langage courant pour désigner l’essuie-tout, un papier très absorbant présenté sous forme de rouleau. Dans le même domaine, c’est également ce qui est arrivé au kleenex, une célèbre marque de mouchoirs en papier, qui a fini par désigner tous les mouchoirs en papier, quelle qu’en soit le fabricant !
 

*Anecdote probable mais non garantie...

 

 

 



 

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