Revenir en Haut Revenir accueil  

 
 

 


 

 


 

"On appelle voiture d'occasion une voiture dont toutes les pièces font du bruit sauf le klaxon."

Pierre Dac

  Bonne Fête Vivien !

 

Le jour de notre navigation, au meilleur de la journée.


 

Hier soir le Commandant Massa a mis le cap au Sud Sud-ouest dès notre sortie du port de Lautoka. Un soleil couchant dans un ciel relativement dégagé, nous a gratifié d'un merveilleux panorama sur l'archipel fidjien.

Première de nos 2 journées de navigation, en ce dimanche matin, pour atteindre le pays situé le plus au sud de notre circuit : la Nouvelle-Zélande. Le temps est resté un peu nuageux malgré une température bien estivale, mais l'air a été beaucoup plus respirable sur l'océan qu'à l'intérieur des îles Fidji lors de nos 2 dernières escales.

L'océan est resté un peu agité la nuit dernière et une bonne partie de la journée mais, avec des vagues de 1.5 mètre sans aucune comparaison avec celles qui ont agité le paquebot entre San Francisco et Hilo !

Ce soir le chef nous a concocté un menu fidjien à base de poissons (crus et cuits) bien sûr !

 

 




 

L'Anecdote* du jour...

Une dette de 357 ans pour la famille royale britannique

Charles II d’Angleterre n’avait pas payé la confection d’uniformes militaires en 1651 !

Il aura fallu 357 ans pour que la famille royale britannique règle une dette à la Clothiers Company de Worcester, une vieille entreprise de confection du Royaume-Uni.

C’est le Prince Charles qui a finalement payé les 453,15 livres sterling en juin 2008, en paiement d’une commande datant 1651 pour des milliers d’uniformes militaires !

La dette était en fait celle de Charles II d’Angleterre, qui combattait alors l’armée de Cromwell. Exilé en France en 1651, il n’avait pas pu payer les fabricants, mais ne l’avait pas non plus fait à son retour en Angleterre en 1660, lorsqu’il devint roi.

Le Prince Charles, s’il accepta finalement de régler cette petite somme (un peu plus de 550 euros), ne se hasarda néanmoins pas d’y adjoindre les intérêts. À en croire l’Institute for the Measurement of Worth, la dette aurait atteint 47 500 livres en 2007 (un peu plus de 56 000 euros) en comptant les intérêts. Ce qui, malgré tout, aurait été peu cher payé pour des milliers d’uniformes !
 

*Anecdote probable mais non garantie...

 

 

 



 

Sur une date ci-dessous pour voir
Nos escales & jours de navigation dans le détail



 
©Dominoproduction 2019