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"Il vaut mieux être plusieurs sur une bonne affaire que seul sur une mauvaise."


Tristan Bernard

  Bonne Fête Thomas & Thérèse !

 
 

Arrivée prévue à 7 heures, départ à 18 heures.


Le jour de notre escale, au meilleur de la journée.


 

Andréas et Grégory seront respectivement notre chauffeur et notre guide pour cette journée que nous allons passer sur le sol du 3è plus petit pays d'Amérique centrale : Le Costa Rica. C'est Christophe Colomb qui, en 1502, voyant les indigènes avec de nombreux bijoux en or désigna le lieu "côte riche", appellation qui se transformera par la suite en Costa Rica...

Grégory est né en France, mais est arrivé très jeune dans cette république aux 5 millions d'habitants. Il nous explique que le mot "passe partout" à connaître ici est "Pura Vida" (justement le nom du parc où nous allons nous rendre qui figure à la première place "des jardins d'Amérique" du classement établi par la Tropical Sierra Fondation). L'expression "Pura Vida" est prononcée de nombreuses fois par jour par les costariciens, car celle-ci veut dire : "que du bonheur, la vie est belle..."

Puntarenas (qui peut se traduire par : Pointe de sable), la ville où nous avons accosté, est une ville portuaire dans laquelle il n'y a que de petits commerces et une plage assez peu aménagée. C'est donc tout d'abord dans les jardins de Pura Vida, situés dans la montagne, que nous nous rendons après une bonne heure de trajet, dont la moitié sur des routes étroites, sinueuses et très escarpées. Là haut, le panorama qui s'offre à nos yeux est assez exceptionnel et les jardins, très entretenus, mais envahis par une flore luxuriante.

Après cette première visite et une petite pause pour déguster les nombreux fruits du pays (le Costa Rica est notamment le premier exportateur mondial d'ananas), nous redescendons la montagne à vitesse très réduite car nous sommes souvent face à des pentes impressionnantes... mais nous avons un bon chauffeur et prudent de surcroît !

Nous faisons notre second arrêt du jour au pont Tarcoles où plusieurs dizaines de crocodiles ont élu domicile. Ces reptiles ont été durant des années nourrit ici par l'homme et ont donc colonisé les lieux. Certains d'entre eux auraient plus de 50 ans... Un périmètre de protection est bien sûr établi, mais il nous est possible de les approcher d'assez près. Ils semblent tous bien léthargiques, mais nous restons toutefois sur nos gardes !

Avant de retourner au port nous faisons une petite halte au marché du souvenir, El Jardin, sur lequel de nombreux artisans exposent et vendent leurs créations.

De retour à Puntarenas, nous profitons un peu du bord de mer avant de regagner le paquebot pour un nouveau départ !

 

Clichés pris par l'équipe photos du MSC Magnifica...

 

 

La plaque commémorative de notre passage...

 

 




 

L'Anecdote* du jour...

La République de Macédoine n’a pas le droit de s’appeler Macédoine

La Grèce conteste l’utilisation du nom de Macédoine par la République de Macédoine, reprochant à ce pays slave une appropriation d’un passé grec. La Grèce souhaite que le pays soit officiellement dénommé FYROM (Former Yugoslav Republic of Macedonia) dans les institutions internationales, en attendant qu’une solution de compromis soit trouvée.

Jusqu’en 1991, la République de Macédoine est une des républiques fédérées de la République fédérale populaire de Yougoslavie, avec la Serbie, la Slovénie, la Croatie, la Bosnie Herzégovine.

À l’indépendance, la République de Macédoine veut insister sur une identité propre : comme pour la plupart des pays des Balkans, les composantes ethniques de la population macédonienne sont complexes. La toute jeune Macédoine craint en effet d’être à son tour disloquée entre Bulgarie, Albanie, Serbie.

La république conserve son nom de Macédoine (son territoire correspond à une partie de l’antique royaume de Macédoine) et, en 1991, prend comme drapeau le Soleil de Vergina, symbole découvert dans la tombe du roi de Macédoine Philippe II, père d’Alexandre le Grand.

La Grèce n’accepte pas ce qu’elle juge comme l’appropriation par la République de Macédoine d’un passé qui n’est pas le sien. Les Grecs craignaient également des revendications territoriales portées sur la province grecque de Macédoine. La Macédoine finit par modifier son drapeau en 1995.

Divers nouveaux noms ont été proposés depuis des années (Nova Makedonija, Slavo-Macedonia, Vardar Republic, Republic of Skopje). Mais la Macédoine refuse toute solution qui ne contiendrait pas le nom «Macédoine», tandis que la Grèce estimait qu’aucun nom contenant «Macédoine» n’était envisageable.

Malgré tout, la Grèce commence à accepter la possibilité d’un nom composite incluant le terme «Macédoine» si celui-ci est accompagné d’un qualificatif de précision, afin de supprimer toute ambiguïté.

*Anecdote probable mais non garantie...

 

 

 



 

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